Danse finale de Trahisons Humen interprétée dans une carrière de sable près de Chartres, filmée dans un paysage extérieur caillouteux, accidenté, au loin une colonne d'humains, hommes et femmes : face à face, entamant des déplacements folkloriques. Le fait d'être hors du lieu théâtral rend à la danse de Mark Tompkins un double mouvement : celui d'un espace infini peuplé de mille choses invisibles, celui d'un temps brouillé, inépuisable.

Fait partie de la collection permanente du Centre Georges Pompidou.